Discussion:Familles Deydier

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Admissibilité[modifier le code]

Bonjour @Iyy et @Keranplein, voilà un article à reprendre entièrement, au moins dans sa structure. Comme par hasard certaines pages des sources sur la noblesse ne sont pas indiquées. La famille ne figure pas dans la liste des famille subsistantes de la noblesse alors qu'il est affirmé dans la première ligne qu'elle en fait partie.

Cordialement Arx76 (discuter) 3 janvier 2023 à 12:54 (CET)[répondre]

Bonjour Arx76 (d · c · b),
Deydier est un nom relativement courant dans le Sud-Est de la France.
Le présent article mélange volontairement trois familles distinctes :
  • les Deydier, nobles du Vivarais, éteints en 1937 ;
  • les Deydier de Pierrefeu, bourgeois de Toulon, éteints en 1836 (avec un seul personnage notoire, l'officier de marine) ;
  • les Malcor, négociants à Marseille, subsistants avec reprise du nom Deydier de Pierrefeu en 1879, après une alliance de 1849.
Il existait encore d'autres familles Deydier, comme expliqué en détail dans le CEA, qui développe plusieurs de ces familles mais pas les Deydier de Pierrefeu, déjà éteints à son époque.
Je pense que dans ces conditions, on se dirige tout droit vers le débat d'admissibilité, après nettoyage de l'article.
Merci d'avoir entamé une campagne de vérification des articles familiaux, qui était manifestement plus que nécessaire. Avec quelque 3 000 articles familiaux existants à ce jour sur WP, il y a du travail en perspective pour plusieurs années...
Cordialement, Keranplein (discuter) 6 janvier 2023 à 01:00 (CET)[répondre]
Bonjour, merci pour votre réponse. Oui il y a beaucoup d'articles à nettoyer et supprimer. Cordialement Arx76 (discuter) 7 janvier 2023 à 16:20 (CET)[répondre]

Version 2024[modifier le code]

Bonjour Keranplein et Hubert de Vauplane Émoticône, j'ai corrigé cet article, ça convient mieux ?

Bien cordialement, Iyy (discuter) 26 mars 2024 à 20:53 (CET)[répondre]

Bonsoir Iyy (discuter)
Oui j'ai vu ca. C'est effectivement beaucoup mieux. Que ce soit sur les branches que sur la manufacture royale. Vous avez à cet égard bien rattaché le rôle de chaque personnage de cette famille à cette histoire de la manufacture. Bravo et merci.
Bien cordialement, Hubert de Vauplane (discuter) 26 mars 2024 à 21:11 (CET)[répondre]
Bonjour Iyy (d · c · b),
Merci pour votre intervention sur le présent article.
J'avais remis cet article à plat à l'automne 2023 en le recentrant sur la famille noble des soyeux du Vivarais, à l'occasion du débat d'admissibilité de 2023. Malheureusement un contributeur en conflit d'intérêts est venu tout dégrader derrière, comme il est de coutume sur WP dès qu'on a le dos tourné. Seule la famille du Vivarais a été jugée admissible lors de ce DAD. Les familles homonymes ne répondent pas aux critères de notoriété en vigueur.
Comme quoi il aurait mieux valu voter la suppression de l'article pour éviter le retour des CAOU et autre vandales.
Ce qu'il faudrait faire désormais, c'est rétablir l'article sur la seule famille du Vivarais, tel que je l'avais mis en forme, et créer un second article d'homonymie présentant les quelques familles homonymes, mais de manière plus concise que dans la version actuelle.
Cordialement, Keranplein (discuter) 26 mars 2024 à 21:20 (CET)[répondre]
Je préfère comme cela car aucune de ces familles ne remplit les critères de Wikipédia. Cet article manque de sources, notamment sur les dates d'extinction (Vivarais et Toulon). A qui appartient François Deydier ? Que dit le Dioudonnat ? En lisant Charondas, il semblerait possible de faire un article sur les Malcor car il y a des généraux mais sans autres informations et sources c'est peine perdue. Bien cordialement, Iyy (discuter) 27 mars 2024 à 09:06 (CET)[répondre]
Notification Hubert de Vauplane et Keranplein :
Vous avez fait, Iyy, un gros travail sur cet article, à l'aide notamment du CEA.
Le souci est qu'une telle rédaction ne correspond à aucun des profils d'articles acceptés sur WP. Soit une famille est jugée notoire (selon un vote en DAD souvent très conciliant) et elle peut alors bénéficier d'un article WP individuel, soit elle ne l'est pas. Dans ce dernier cas, la seule chose qu'on puisse faire, c'est créer une liste de familles homonymes où les familles sont présentées brièvement et sans développement.
Souvenez-vous que de telles listes de familles homonymes jugées non conformes car trop développées (par exemple les articles d'homonymie Familles du Puy-Montbrun, Familles de Meaux) sont déjà passées à la trappe par le passé lors de DAD houleux animés par des contributeurs hostiles.
Cordialement, Keranplein (discuter) 27 mars 2024 à 13:50 (CET)[répondre]
Bonjour Keranplein et Hubert de Vauplane Émoticône, comment faire alors ? La famille Deydier du Vivarais peut-elle avoir un article sans personnalités ? Des articles comme celui-ci il y en plusieurs, pourquoi celui-ci serait supprimé ? Vous voulez vraiment que je fasse 1 article pour la famille noble et un autre d'homonymie pour les autres ? Iyy (discuter) 27 mars 2024 à 14:40 (CET)[répondre]
Bonsoir Iyy (discuter)
Je comprends ce que dit Keranplein (discuter) même si je préférais votre précédente version Iyy (discuter) .
Du coup si on reste sur cette nouvelle version, ne pouvez vous pas récupérer votre précédent travail pour créer une page sur la manufacture royale et renvoyer vers celle-ci sur la partie de la fiche sur la famille ?
Bien cordialement, Hubert de Vauplane (discuter) 27 mars 2024 à 22:41 (CET)[répondre]
Notification Iyy et Hubert de Vauplane :
La version de ce jour est conforme à la norme de la Catégorie:Liste de familles nobles françaises homonymes. Vous pourriez même, Iyy, ajouter à la présente liste une courte notice sur la famille noble Deydier de Nimes (une 4e famille Deydier), qui bénéficie d'une présentation dans le CEA et qui a donné quelques personnages signalés en 2023 par Hubert de Vauplane.
Par ailleurs, rien n'empêche quiconque de rétablir séparément l'article familial sur la seule famille Deydier du Vivarais (c'est-à-dire d'en faire un 2e article), puisque cet article avait été accepté en DAD en 2023. Il suffit de reprendre ma dernière version, pré-vandalisme, telle quelle ou en l'améliorant. Le sort de la manufacture royale de soie est tellement lié à la famille Deydier du Vivaraia qu'il n'est pas forcément pertinent de séparer les deux. L'idée proposée ci-dessus par Hubert de Vauplane reste néanmoins une possibilité alternative.
Cordialement, Keranplein (discuter) 27 mars 2024 à 23:24 (CET)[répondre]
Bonjour à tous deux,
Si Iyy (discuter) le veut bien, ce serait effectivement une bonne idée de reprendre la page sur la famille Deydier du Vivarais en y associant la manufacture royale qui est très lié à celle-ci.
Cordialement, Hubert de Vauplane (discuter) 28 mars 2024 à 07:38 (CET)[répondre]
Bonjour Hubert de Vauplane et Keranplein Émoticône, sans personnalités ni sources je ne peux pas faire un article individuel sur les Deydier du Vivarais. Bien cordialement à vous deux, Iyy (discuter) 28 mars 2024 à 17:37 (CET)[répondre]
Je vais compléter les Deydier du Languedoc. Iyy (discuter) 29 mars 2024 à 20:57 (CET)[répondre]

Informations non sourcées[modifier le code]

Les informations non sourcées sont regroupées ici. Iyy (discuter) 27 mars 2024 à 19:57 (CET)[répondre]

Deydier
Blasonnement D'azur aux rocs de trois coupeaux d'argent, celui du milieu construit d'une tour du même, les deux autres plantés d'un chêne d'or.
Devise Dei Dei Rus Micat
(Le pays de Dieu brille)
Période XVIe au XXe siècle
Pays ou province d’origine Vivarais
Demeures Château d'Aubenas
Chateau d'Ucel
Chateau de Saint-Laurent-sous-Coiron
Château des Rieux


Une devise connue demeure Dei Dei Rus Micat (Le pays de Dieu brille).

La branche de Laval de Sauveroche est connue pour avoir fondé plusieurs manufactures royales.

La famille Deydier a joué un rôle important dans le développement de l'industrie textile en Ardèche aux XVIIe et XVIIIe siècles. Leur implication a débuté avec l'établissement d'ateliers de moulinage de soie, évoluant ensuite vers la création de la renommée Manufacture Royale de filage et dévidage de la soie à Aubenas.

Pendant la "Révolte de Roure" au XVIIe siècle, Jean Deydier a établi un atelier de moulinage de soie à Chomérac, anticipant l'essor économique de la région.

Jacques Deydier, seigneur du Lac, a contribué de manière significative aux avancées des moulins et filatures. Étudiant les techniques italiennes, il a fondé une filature à Chomérac et élargi ses activités à Pont-d'Ucel en 1675, collaborant avec Pierre Benay et Jacques de Vaucanson pour renforcer l'influence de la famille.

Jacques II Deydier, seigneur du Lac et avocat, a présidé les États du Vivarais au XVIIIe siècle, consolidant les liens familiaux avec la région.

Henri Deydier a marqué l'apogée de la famille dans l'industrie textile en créant la Manufacture Royale à Pont-d'Aubenas en 1752, avec le soutien de Jacques de Vaucanson. Malgré des difficultés économiques ultérieures, l'entreprise a connu un succès notable avant de décliner à la fin du XVIIIe siècle.

Sous l'impulsion de Jacques de Vaucanson, la Manufacture Royale de filage et dévidage de la soie à Aubenas a été érigée en 1752 sur des plans novateurs de l'architecte Guillot Aubry. La collaboration entre Vaucanson et Henri Deydier a permis la création d'une entreprise d'envergure équipée de moulins révolutionnaires, jouant un rôle significatif dans l'histoire industrielle ardéchoise.

Au XIXe siècle, Jean-Étienne Deydier a relancé l'entreprise, participant à la construction de filatures à traction hydraulique à Ucel en 1825. Cette période a marqué une nouvelle ère dans l'histoire de la famille, consolidant sa position en tant que leader de l'industrie des soies en France.

La Manufacture Royale de Pont-d'Aubenas, créée par Henri Deydier, demeure un témoin exceptionnel de l'ingéniosité de la famille. Jacques de Vaucanson et la famille Deydier ont contribué à façonner l'architecture distinctive de l'industrie textile ardéchoise. Cet impact perdura au-delà de la fermeture de la manufacture royale en 1774, laissant un héritage d'innovation et de savoir-faire dans l'histoire industrielle de l'Ardèche.

L'Ardèche, berceau de l'industrie textile au XVIe siècle, est devenue un centre majeur de la filature et du moulinage de la soie au XVIIIe siècle. Des conditions naturelles favorables, telles qu'un climat doux et des cours d'eau purs, ont contribué à l'essor de cette industrie. Des personnalités clés telles qu'Olivier de Serres, Pierre Benay, et Jean-Marie Roland de La Platière, tous amis de la famille Deydier, ont également joué un rôle crucial dans le développement de la culture du murier et des techniques de filature en Ardèche.

La famille Deydier a tissé des liens solides avec d'autres familles nobles de la région. Des alliances notables incluent les familles de Vogüe, de Chalendar, de Beauvoir du Roure, de Beauxhostes, de Roqueleuil, de Brignae de Montarnaud, de Pelel de Combas, Dejean de Montval, Balestrier, la Rivoire, Dallamel, d'Esparron de Verdon, de Ruelle, de Blachère, etc.

Autres familles Deydier[modifier le code]

La famille Deydier en Provence[modifier le code]

La famille se divise en différentes branches. La branche des seigneurs de Mirabeau, notamment représentée par Claude Deydier, trésorier de France en Provence au XVIIe siècle, est caractérisée par des armoiries spécifiques.

À Orange, la famille Deydier inclut des notables tels que Gabriel Deidier, notaire, et Jean-Gabriel Deydier, avocat au Parlement, qui a joué un rôle dans les événements de 1789 à Orange.

François Deydier (1637-1693), missionnaire jésuite, à partir de 1678 vicaire apostolique du diocèse de Haïphong et évêque titulaire du diocèse d'Ascalon. Il a donné son nom à la Place Monseigneur Deydier dans le quartier du Mourillon à Toulon.

Branche aînée: Claude Deydier de Puyméjan[modifier le code]

Antoine Deydier, descendant d'Étienne, fonda la branche aînée. Son fils, Claude Deydier, Sgr de Puyméjan et habitant de Nîmes, laissa une trace indélébile dans l'histoire. Conseiller du Roi, garde des sceaux en la Cour, et siégeant au présidial de Nîmes, Claude Deydier marqua le XVIIe siècle. Son fils, Guillaume Deydier, habitant d'Aigues-Mortes, perpétua la lignée et fut lui-même gardien du grenier à sel de la ville.

Branche aînée, premier rameau : François Deydier de Bellegarde[modifier le code]

Le fils de Guillaume, Bernard Deydier, devint garde pour le roi aux salins de Peccais. La descendance de ce rameau se poursuivit avec François Deydier, viguier de Bellegarde, qui fut maintenu dans sa noblesse en 1702 par jugement de M. de Lamoignon, intendant du Languedoc. La lignée continua avec des représentants notables tels que Jacques-Gabriel Deydier, participant aux assemblées de la noblesse à Montpellier en 1789.

Branche aînée, deuxième rameau : Pierre Deydier de Peccais[modifier le code]

Guillaume Deydier, fils de Bernard, fut garde pour le Roi aux salins de Peccais. Son fils, Bernard Deydier, épousa demoiselle Jeanne de Conseil en 1607. Ce rameau s'est épanoui avec des représentants tels que François, Pierre, et Claude Deydier, créateurs de trois rameaux distincts.

Branche aînée, troisième rameau: Louis Deydier d'Aigues-Mortes[modifier le code]

Le troisième rameau de la branche aînée, initié par Claude Deydier, écuyer, et habitant d'Aigues-Mortes, s'est étendu avec son fils, Louis Deydier, célèbre médecin de la faculté de Montpellier. Malgré son extinction avec Mme Randon de Grollier, femme d'un maréchal de camp.

Branche cadette : Louis Deydier de Nîmes[modifier le code]

Louis Deydier, conseiller au présidial de Nîmes et gardien du grenier à sel de la ville, épousa Marie de Madières. Leur fils, Bernard-Thomas Deydier, fut viguier du roi aux salins de Peccais et contrôleur des domaines à Beaucaire. Ce rameau s'éteignit avec Mme Randon de Grollier.

Clément 2024[modifier le code]

Bonjour Iyy (d · c · b),

Lothaire57 développe plusieurs familles Deydier dans le Clément 2024, avec des informations complémentaires :

  • † Deydier (1907-1965) (Nîmes, Languedoc) :
    • Filiation depuis Étienne Deydier, écuyer, habitant Nîmes, qui teste en 1548.
    • Premier rameau : maintenue noble le 18 janvier 1702 par jugement de Lamoignon-Basville à l’intendance de Languedoc. Jacques-Gabriel (1753-1845), comparant à Montpellier en 1789. [Armorial]
    • Derniers du nom : Jean (1859-1899), d’où Marguerite (1887-1890), Marie-Juliette (1891-1893), Marie-Augusta (1894) et Valérie (1897-1900) ; Jacques-Gabriel-Vincent (1821-1907), d’où Emilie-Gabrielle Deydier (1881-1965).
    • (armorial de 1696) D’azur au roc d’argent à trois copeaux chargé d’une tour de même accostée de deux arbres d’or.


  • † Deydier (alias Deydier de Puech Méjan) (Lunel, Languedoc) : issu de la famille précédente.
    • Pierre-Jean-François-Louis-Adrien Deydier (1783-1841), chevalier de l’Empire par L.P. du 3 janvier 1813 à la suite du décret du 11 janvier 1812 le nommant membre de la légion d’honneur. [AN BB/29/972] Autorisé par ordonnance royale du 9 octobre 1825 à joindre à son nom celui de « Puech-Méjan ». Sans postérité.
    • Tiercé en fasce d'or, d'azur et d'argent : l'or au dextrochère de carnation, rebrassé d'azur, tenant une rose au naturel ; l'azur à la tour, d'or, soutenue du même, flanquée de deux pins, aussi d'or, un à dextre, un à sénestre ; l'argent à deux tubes de canon, de sable, en sautoir, traversés en pal d'une épée haute de gueules.

Mon commentaire : les deux notices ci-dessus n'expliquent pas comment les deux branches présentées se rattacheraient.


  • † Deydier (1937-1941), Deydier de Laval (Vivarais) :
    • Filiation depuis Étienne, originaire de Lanas au diocèse de Viviers, ép. Gabrielle Reyne, d’où Honorat (1580), allié vers 1600, seigneur de Laval. Jean Deydier, maintenu dans sa noblesse le 21 octobre 1668 par jugement de M. de Bezons. Son fils Jacques Deydier de Laval de Sauveroche (1644-1715), maintenu noble le 1er juin 1693 par le conseil du Roi. Son petit-fils Jacques Deydier, président des Etats du Vivarais en 1717 et 1729.
    • Derniers du nom : Victorin (1830-1902), d’où plusieurs enfants, dont Charles (1862-1937), Marthe (1865-1934) et Marie (1863-1941).


  • † Deydier de Pierrefeu, olim Deidier (1870-1902) (Toulon) :
    • Famille originaire de Toulon, seigneur de Pierrefeu, semble sans principe de noblesse. Louis-Joseph (1740-1793), lieutenant des maréchaux de France. [WNS, CEA XIV p.52, SS, SS sup]
    • Nom repris, suite à une adoption confirmée en 1879, par une partie de la famille Malcor (Marseille), dont une branche est devenue « Malcor-Deydier de Pierrefeu ».
    • Derniers du nom : Charles-François-Victor (1790-1870) d’où Marie-Baptistine-Joséphine (1819-1902), Louise (1823-1861) et Adrien-François-Marie (1826-1828).
    • Parti : au I d’azur à un roc de trois coupeaux d’argent, celui du milieu surmonté d’une tour du mesme et les deux autres sommés d’un chêne de sinople ; au II d’azur à une bande d’or chargée d’une couleuvre de sable et accompagnée de deux molettes d’éperon d’or.

Mon commentaire : Lothaire57 donne pour date d'extinction de cette famille 1870 au lieu de 1836.

Cordialement, Keranplein (discuter) 30 mars 2024 à 14:40 (CET)[répondre]

Merci Notification Keranplein :, je dois ajouter encore quelques lignes sur la famille Deydier du Vivarais. Cette famille me semble d'une noblesse douteuse avec ses fonctions bourgeoises. On est ici dans un bon exemple de ces familles nobles qui étaient en réalité plus proches de la bourgeoisie que de la véritable noblesse. Cordialement, Iyy (discuter) 2 avril 2024 à 17:29 (CEST)[répondre]

Notification Hubert de Vauplane :